Le Mansourah, André Médioni, éd. Manson, 1996, 273 p. (35 illust),
format à l'italienne : 21 cm x 17 cm.

"Comme un conteur… L'auteur relate ses souvenirs sous forme de nouvelles : l'enfance à Constantine, les années étudiantes à Alger, l'exercice de la médecine, la France sous l'occupation, les amitiés, les amours."

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Les Lettres Trimestrielles, Jean et Gilberte Weiller, éd. Manson, 2000, 285 p.
(66 illust), format : 21 cm x 17,6 cm.

"Lettres envoyées aux enfants et petits enfants croisant la petite et la grande histoire. Présentées de manière thématique et chronologique : les ancêtres, les années de jeunesse, la guerre de 1940 (engagement, exil et Forces Françaises Libres), l'exercice professionnel (l'économie politique, la reliure d'art), couvrant l'ensemble du XX ème siècle."

 

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Carnets, Paul Vicaire, éd. Manson, 2009, 124 p. (39 illust), format : 21 cm x 17,6 cm.

"Extraits d'un journal intime, regroupés par thèmes, où l'on entend le chantre des églises romanes, le géomètre contemplatif des paysages saintongeais, des souvenirs de soldat, et le portraitiste amusé d'amis."

 

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Ses Mains, éd. Manson, 2001, 4 p., format  : 16,5 x 12,5 cm.

" Celles d'une mère et d'une artiste devenue très âgée."

 

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La ville Promontoire, Danièle Weiller Médioni, éd. Manson, Paris 2016, 46p. (44 photos et 5 pastels et gravures de l’auteur), format à l’italienne: 24 cm x 25 cm.

" La vie d’une petite fille dans le Poitiers d’après-guerre, de dénuement et de pénurie mais riche d’imaginaire et d’infimes riens appréciés comme des touts. Une ville à l’échelle d’un enfant, aux racines profondes, conforme à ses fantasmes et en harmonie avec le paysage qu’elle épouse. Une ville marquée par la Résistance et la Collaboration où les histoires enfantines restent liées au souvenir de la grande histoire.»

«Image d’un temps immobile qui m’habite toujours. Etant arrivée à l’âge de six ans dans ma ville natale après quatre années d’exil aux Etats-Unis, celle-ci reste d’autant plus vivace que je l’ai quittée à l’adolescence. Étrangement, elle oriente toujours mes attentes dans cet autre monde d’aujourd’hui.[…]Comme ce jour où je partageais l’émotion de Jude l’Obscur devant les murs gris et les grilles fermées des collèges d’Oxford, dialoguant avec les présences invisibles de savants et poètes, anciens et modernes, errants à travers la cité et lui apparaissant dans une grandeur démesurée."

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Eaux vives, Danièle Weiller Médioni, éd. Manson, 1996, 273 p. (35 illust),
format à l'italienne : 21 cm x 17 cm.

Souvenirs autobiographiques dans le cadre d’un atelier d’écriture sur l’enfance, les années de formation et l’âge adulte. Episodes privilégiant, à travers la vie de femme et la vie professionnelle, les liens entre la petite et la grande Histoire depuis la guerre jusqu’à l’an 2000.

Sommaire :
Ouverture — Vocation en herbe — À l’écran, comme un miroir — Que savons-nous de Jacques Lévy, ce disparu — Une Pénélope de l’Occupation: ma grand-mère Mita — Jean Weiller et les Forces Françaises Libres — Une enfance poitevine; Le professeur de piano — L’atelier de reliure de ma mère, Gilberte Givel — Madeleine Léo Lagrange et ses compagnes: une famille de femmes combattantes — Lycée Fénelon: mes premières grandes amitiés — Voyage initiatique en Provence — En un plus large horizon — Premières années de faculté: humanisme, utopie et politique — Ici, ailleurs: autres rives — Difficiles ces «Trente Glorieuses»! — Liberté, liberté — L’œuf de Pâques, un intermède pérenne — Passagère clandestine: une vie transgressive — Temps suspendus : nos étés à La Vigneraie — En un jardin secret — L’île verte en mer — Fonder une famille — Le Phalanstère de la Cinam — Mai 1968 à la Cinam — Les années 1970 — La Dimension Urbaine, une aventure à contretemps — Babel, si lointaine — Collègues et amis chercheurs, comment allez-vous? — La vie créative des Éditions Manson, des histoires partagées — Ombres – Ancrages : au fil de l’amitié — Choses tues, choses débattues — Peintre et modèle — Ses mains — Mon portrait chinois — Quinze si beaux jours

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A trois pères, à deux mères, à Theresa, Un conte freudien. Marieluise Neuhaus, éd. Manson, 1997, 21 p., format : 21 cm X 17,6 cm.

"Quand une petite fille découvre que le silence sur les pères dans sa famille et celle de Teresa ne relève pas de la même « famille »".

 

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… Se trame dans l'espace temps …, Marieluise Neuhaus, éd. Manson, 2004 , 20 p., format : 21 cm x 21 cm.

"Une coïncidence troublante … "

 

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